Domination de sa chef

Loïc était en poste depuis cinq ans quand son patron le convoqua. Il était persuadé prendre le poste de chef de service laissé libre par le départ en retraite de son mentor, mais son patron lui annonça l'arrivée d'une future chef de service toute fraîchement débarquée de chez le concurrent.
Loïc revint à son bureau et commença à se renseigner sur sa future chef. Il la connaissait un peu pour l'avoir rencontrée sur certains dossiers chez des clients communs. C'était une fort belle femme, inaccessible diront certains, mal baisée diront d'autres ; en tout cas, elle ne laissait transparaître aucune émotion.
Stéphanie était arrivée depuis quelques heures et déjà Loïc avait retourné tout le web pour essayer de mieux comprendre qui elle était. C'est par hasard qu'il tomba sur des photos d'elle, nue, offerte à de nombreux sexes d'hommes, apparemment une photo volée dans une soirée quelconque. Il imprima la photo, la glissa dans une enveloppe et la déposa dans le bureau de sa chef. Le mot disait : "Ce soir. 20h. 18 avenue des Lilas. Sinon je publie la photo."

Stéphanie arriva à son nouveau bureau, habillée en tailleur, comme toujours, tiré à quatre épingles. Elle traversa l'allée qui menait jusqu'à son bureau en disant bonjour assez sèchement pour bien montrer qu'elle était la supérieure. Stéphanie entra dans son bureau pour la première fois, elle s'installa sur son fauteuil, et trouva l'enveloppe sur son bureau. Elle l'ouvrit sans crainte pensant que c'était pour son travail.
"Mon dieu qui a pu trouver une telle photo ?" Elle ne savait pas quoi faire, aller à ce rendez-vous ou ne pas céder au chantage.
Stéphanie se laissa le reste de la journée pour réfléchir.

Loïc se laissait également la journée pour réfléchir. Il se délecta toute la journée de l'attitude autoritaire et hautaine de sa chef. Il savait déjà qu'il serait aux anges ce soir quand elle verrait que c'était lui, son assistant, qui tirait les ficelles. Il faisait même exprès ce jour d'être particulièrement attentionné, respectueux, humble et gentil avec sa nouvelle chef. Il forçait même le trait en se transformant littéralement en lèche cul... Ses collègues ne comprenaient pas. Stéphanie trouvait dans son attitude une sorte de refuge car tous ses autres collaborateurs avaient plutôt tendance à la prendre de haut. Elle se servait un peu de Loïc comme point d'entrée... mais Loïc, lui, encore plus pervers que tous ses collègues, voulait qu'elle se sente en sécurité avec lui. Il serait son protecteur... il sourit. Il s'imagina sa tête ce soir....

Loïc attendait patiemment au 18 avenue des lilas, un petit bar appelé le bar des lilas. Il était attablé dehors devant un verre de vin blanc. Il était 19h45. Il fumait tranquillement une cigarette en attendant Stéphanie. Il profitait de ce moment de répit et finissait de réfléchir à ce qu'il allait dire... Sur le fond s'était clair, il voulait profiter d'elle, l'humilier, la sauter aussi car elle lui plaisait et ses photos l'excitaient. Sur la forme, il hésitait encore.

Stéphanie quitta son bureau d'un pas déterminé, regardant autour d'elle si une personne était susceptible d'être l'auteur de ce courrier. Elle se dirigea vers le point de rendez-vous, la tête pleine de questions.
"Qui peut m'avoir envoyé ce courrier et pourquoi, qu'attend-il de moi ?"
Stéphanie arriva à l'adresse indiquée, mais ne voyait personne, l'angoisse commença à se voir sur son visage, elle regarda partout autour d'elle, lorsqu'elle vit s'approcher Loïc son assistant.
Surprise et choquée, elle resta sans voix.
"Comment ? Pas lui, il a été si gentil tout au long de cette journée."

Loïc fut rapidement très directif à l'encontre de sa chef.
"Assieds-toi ici !" fit-il en désignant une chaise à une table libre.
"Assieds-toi et tais-toi, laisse moi parler, je vais te proposer quelque chose que tu ne devrais pas refuser..."
Loïc commanda deux coupes de champagne et commença à expliquer le marché à Stéphanie. Il allait lui confier un collier en bonbons (comme ceux des enfants) avec 4 bonbons bleu et 1 bonbon blanc. Elle devrait lui obéir sans broncher et sans discuter sur chacune de ses demandes. Lorsque la demande aura été exécutée alors elle pourrait manger un bonbon bleu. Elle n'aura pas le droit de refuser ce qu'il demande sauf une fois, et là, elle devra croquer le bonbon blanc.
Stéphanie était interrogative...  
Loïc sourit : "J'ai vu sur certaines photos ce dont tu étais capable... J'ai du coup échangé avec l'auteur des photos qui m'a envoyé tout un dossier sur toi. J'en sais beaucoup sur toi, ta sexualité... tu sembles bien dévergondée soit dit en passant ! Je vais me faire un plaisir de profiter de toi !"

Stéphanie pris place sans poser de questions, elle écoutait parler Loïc, surprise et choquée en même temps. Elle ne comprenait pas ce qui était en train de se passer.
"Mon assistant, lui qui a été si gentil, tout au long de cette journée, comment peut-il me faire du chantage ?"
Stéphanie l'écoutait parler de ses photos, elle restait bouche bée, comment pouvait-elle se sortir d'une telle situation, à part obéir. Elle laissa Loïc lui mettre le collier autour du cou, avec un regard un peu paniqué, mais toujours froid pour ne pas trop laisser Loïc jouir de la situation.

Loïc se délectait de la situation en regardant Stéphanie se mordre les lèvres. Son regard désabusé en disait long sur ce qu'elle pensait de la situation.... mais Loïc savait que sous ses airs de sainte nitouche se cachait une redoutable salope. Qu'il suffise de regarder les quelques photos qu'on lui avaient transmises. Elle pouvait être complètement dévergondée et il comptait bien en profiter dès ce soir.
Il se tourna vers Stéphanie et lui dit tout simplement et sans se démonter : "Voici une boite de préservatifs, je compte sur toi pour revenir à mon appartement qui est juste en face avec ces deux capotes bien remplies dans 15 minutes."
Loïc déclencha son chronomètre et se leva en direction de son appartement... "ah oui j'oubliais, dit-il en se retournant, dépêches-toi le compteur tourne et tu n'as pas le droit de m'utiliser pour ce gage, il va falloir trouver d'autres personnes ! Bon courage"

Stéphanie était stupéfaite par ce qu'elle venait d'entendre. Elle savait qu'elle avait la possibilité de refuser une fois, mais elle était bien consciente que ce n'était qu'une seule fois. Si elle voulait garder son travail et le respect de ses collaborateurs, il fallait qu'elle fasse ce que lui demandait Loïc. Stéphanie regardait Loïc se déplacer à travers la pièce en lui répétant avec insistance.
"Attention, le chrono a commencé, tu n'as que 15 min".
Mais deux étaient déjà passées, elle se leva à son tour et se mit à regarder autour d'elle. Au fond du bar, elle aperçut deux copains en pleine discution, elle s'approcha et sans rien dire elle les pris par la main, puis les amena jusqu'aux toilettes. Les deux garçons la suivirent sans se poser de questions, elle baissa leurs braguettes et commença à les branler pour ensuite leur mettre les préservatifs.
Stéphanie se lança dans des fellation torrides pour les faire jouir au plus vite, elle savait que le temps lui était compté. Les deux garçons étaient tellement excités par la situation qu'il ne leur fallut pas longtemps pour jouir. Stéphanie se dépêcha de récupérer ses préservatifs qu'elle referma avec soin, sans donner d'explications aux deux jeunes hommes.
Elle frappa à la porte de chez Loïc, soulagée et angoissée.
"Ouf!!! Juste à temps, mais que me réserve-t-il maintenant ?"
Elle allait vite être fixée, Loïc ouvrait la porte au même moment.

"Bravo Stéphanie, s'exclama-t-il. Deux préservatifs bien remplis en moins de 13 minutes. On m'avait en effet parlé de tes performances, j'en doutais encore un peu, mais là tu dépasses certaines de mes attentes... Croque un bonbon cela te changera du goût de ces bites que tu viens de sucer à la va vite au fond des toilettes de ce bar !" Stéphanie s'exécuta sans broncher, elle suça avec ferveur ce petit bonbon au goût chimique tellement plus doux que la tige de ce grand boutonneux qu'elle avait fait juter quelques minutes auparavant.  
Loïc reprit la parole : "Tes petites prouesses m'ont un peu excitées, tu vas maintenant me sucer pendant 37 minutes et 30 secondes ; tu devras me faire jouir à plus ou moins cinq secondes par rapport à ce timing. Si tu gagnes tu croques un bonbon, sinon tu prends un autre gage de substitution." Stéphanie installa Loïc dans son fauteuil club et se pencha sur lui.

Stéphanie se rendait bien compte que le gage était infaisable.
"Comment faire, déjà trente sept minutes et trente secondes c'est long, puis ne pas le faire jouir avant me parait impossible." 
Elle réfléchit, elle savait qu'elle avait un joker, mais si elle l'utilisait maintenant elle n'en aurait plus. Stéphanie s'exécuta sans sourciller. Elle se mit à genoux entre les cuisse de Loïc et commença sa fellation.
Très vite Loïc commença à jouir, et appuya un peu brutalement sur la tête de Stéphanie pour se donner encore plus de plaisir, ce qu'elle ne voulait pas puisqu'elle savait qu'il devait tenir plus de trente minutes. Elle entendait Loïc gémir de plus en plus fort, il s'enfonçait au fond de la gorge, puis ce fut la catastrophe pour Stéphanie, Loïc avait joui dans les vingt premières minutes. Elle releva la tête le regard baissé.

"Tu as manqué ton gage ! Pas de bonbon... Il est relativement tôt. Je crois qu'il te sera profitable de méditer sur cet échec ce soir, je te renvoie chez toi... mais ton gage de demain t'attend sur la table." Loïc avait déposé sur la table un petit paquet que Stéphanie ouvrit, honteuse. A l'intérieur elle découvrit des boules vibrantes. Loïc sourit et lui glissa à l'oreille : "Elles sont vibrantes et c'est moi qui ai la télécommande, tu les mettras sous ta jupe et sans string demain au bureau, c'est ton deuxième gage !" Loïc s'essuya le bout de la queue d'un revers de l'index, récolta une goutte de sperme qu'il déposa sur les lèvres de Stéphanie. Il l'embrassa chastement sur les lèvres... "A demain chérie !"

Stéphanie partit honteuse et en colère.
"Combien de temps va durer ce cinéma ?" se demanda-t-elle. Elle savait qu'elle ne passerait pas une bonne nuit, la journée avait commencé par un nouveau boulot, mais ne c'était pas terminée comme elle le pensait. La nuit passa et la voici de retour au bureau, elle passa devant le bureau de Loïc qui la regarda avec un sourire en coin, lui faisant bien comprendre ce qu'il attendait d'elle. Stéphanie entra dans son bureau puis installa les boule de geisha. Elle s'installa pour travailler quand elle sentit les premières vibrations, ça l'excitait beaucoup, elle voyait Loïc qui l'observait derrière la vitre, assis à son bureau.

Loïc commença par se détendre en appuyant son dos contre son fauteuil, il prit une gorgée de café et joua avec l'intensité de la molette pour tester les réactions de Stéphanie. Celle-ci crispait la bouche pour mieux contrôler ses émotions. Elle changeait de position pour que personne ne remarque son petit manège. Elle jetait des regards méchants à Loïc. Elle lui en voulait de compromettre ainsi son emploi mais elle se soumettait complètement à ses exigences par peur qu'il ne dévoile ces photos.
Loïc convoqua au nom de Stéphanie toute l'équipe qu'elle dirigeait pour une réunion informelle d'une demi heure. Il expliqua dans un mail à tout le monde que "Stéphanie vibrait d'impatience à l'idée de les rencontrer pour leur expliquer ses objectifs".
Tout le monde s'assit dans la grande salle. Stéphanie prit la parole de manière assurée et ferme : "Bonjour à toutes et à tous. Merci d'être venus. Je vais vous expliquer maaaaaaaaaaa stratégie." Loïc venait de tourner d'un coup sec la molette et la vibration arracha un "aaaaaaaah" à Stéphanie. Tout le monde en rit sauf Loïc qui fixait narquoisement sa chef en lui faisant signe qu'elle n'était qu'au début de ses problèmes. Il tourna doucement la molette et arrêta, puis recommença....

Stéphanie continuait la réunion avec une honte intérieure qui la rongeait, mais elle savait qu'il ne fallait rien laisser transparaître. Elle jetait un petit coup d'oeil à Loïc qui lui fit bien comprendre, que ce n'était que le début de son calvaire. Stéphanie continuait la réunion en gardant le plus possible son sérieux, mais par moment de petits gémissements sortaient de ses lèvres pincées. Les vibrations des boules l'excitaient un peu et Loïc l'avait bien compris. Loïc faisait vibrer les boules doucement et plus vite, et parfois il donnait un petit coup au maximum, ce qui faisait sursauter Stéphanie. Elle ne se languissait que d'une chose, que la réunion s'arrête, les collaborateurs qui étaient tous là passaient du sérieux au petit sourire en coin. Sa seule angoisse: que quelqu'un découvre quelque chose.

Loïc continuait son petit jeu. Un moment, il fit lever Stéphanie en lui demandant de pointer sur la carte le lieu exact qu'elle était en train d'évoquer. Il était assis juste à côté d'elle et ne put s'empêcher de remarquer la trace de mouille qu'elle avait laissée sur la chaise. Elle avait bien respecté ses consignes... pas de string. Il la regada pointer du doigt la carte et se concentra sur sa robe que sa mouille avait également tachée. Il fut le seul à s'en apercevoir et il se pencha sur elle pour lui confier cela lorsqu'elle se rassit. Loïc continua à jouer ainsi de Stéphanie pendant toute la réunion. Lorsque tout le monde fut sorti, il enclencha la molette sur la vibration maximale et laissa Stéphanie seule en lui lançant : "ton orgasme devrait te calmer, tu penseras à forcer plus ton maquillage demain car tes joues sont rouges d'excitation, avec tes yeux brillants, n'importe qui devinerait sans souci que tu es en train de te masturber ou que tu viens de jouir. Alors profites bien de l'orgasme que je t'accorde et viens me rejoindre à mon bureau quand tu auras joui !" Il quitta la salle.

Stéphanie se sentait légèrement humiliée, mais l'excitation pris vite le dessus, elle était soulagée de se retrouver enfin seule. Elle s'était rassise sur la chaise alors que Loïc continuait, à s'amuser avec les boules. Stéphanie craquait, cela faisait plus de trente minutes qu'elle attendait ce moment. Elle glissa une main entre ses cuisse mouillées et commença à se caresser le clitoris, pour atteindre enfin l'orgasme tant attendu, avant de retourner vers le bureau de Loïc. Stéphanie se sentait soulagée, mais sentait bien que ses joues étaient rouge de chaleur et d'excitation. Elle sortit de la pièce, pour s'approcher doucement du bureau de Loïc, elle avait un regard inquiet.
"Que me réserve-t-il encore, ce gage est-il terminé ?"

Loïc la vit arriver plus détendue qu'avant, les cheveux un peu ébouriffés, le rictus de ses lèvres avait disparu, ses yeux pétillaient encore de son orgasme d'il y a quelques minutes. Loïc avait stoppé la vibration. Il la reprendrait plus tard.  
"Je t'accorderai ton gage à la fin de la journée... il n'est que 11h... les piles sont encore vaillantes, j'espère que tu tiendras le coup, coquine !" Loïc renvoya sa chef à son bureau, c'était le monde à l'envers. Il s'amusa avec elle une partie de la journée en déclenchant la molette de vibration quand elle recevait quelqu'un ou quand elle était au téléphone. A la fin de la journée, il envoya un e-mail à Stéphanie avec l'autorisation de croquer ou de sucer son deuxième bonbon et il l'invita à se joindre à lui pour 19h à son appartement. Elle devait être nue sous son manteau et "prête à l'emploi"...

Stéphanie n'en pouvait plus la journée avait été pleine d'émotions et de sensations fortes. Elle rentrait chez elle et en profita pour prendre un bon bain chaud.
"Enfin un vrai moment de détente, seule et tranquille, quel bonheur".
Quand soudain elle vit l'heure, 18h30, il lui restait une demie heure pour se sécher les cheveux et être à l'heure, ça allait bien que Loïc ne vivait qu'à quinze minutes de chez elle.
Une fois essuyée et les cheveux sec, elle enfila son manteau nue comme lui avait demandé Loïc. Stéphanie sortit de chez elle très mal à l'aise par la situation, elle était nue comme un ver et avait l'impression que tous les regards étaient posés sur elle. Elle arriva à l'appartement de Loïc et frappa a la porte.

Loïc ouvrit la porte et déboutonna le manteau de sa chef. Elle était nue et sentait bon comme il lui avait demandé. Il s'approcha d'elle et sans crier gare enfonça son doigt dans sa touffe. Il retira son doigt parfaitement sec.
"J'avais dit prête à l'emploi".
Il referma la porte et lui glissa à travers le mur d'un ton désespéré : "Sonne quand tu seras suffisamment humide pour être prise immédiatement". Loïc abandonna ainsi Stéphanie sur le palier froid de son immeuble et alla se vautrer dans le canapé. Il passa sa main sur son pantalon, la situation l'excitait déjà tellement...

Stéphanie se retrouvait sur le pallier, elle n'avait pas chaud.
"Quand même il abuse un peu j'ai fait tout ce qu'il me demandait".
Stéphanie commença à se caresser pour s'exciter toute seule, dans le froid, il lui fallut un petit moment pour y arriver. Elle était frustrée de l'attitude de Loïc.
"Ce n'est qu'un bougre ce Loïc".
Stéphanie arrivait enfin à s'exciter et à être suffisamment mouillée pour sonner à nouveau à la porte. Loïc ouvrit la porte, mais ne la laissa pas entrer, il prit d'abord la précaution de vérifier que Stéphanie soit bien mouillée.

Loïc enfonça son doigt dans la chatte brûlante de Stéphanie. Elle était toute chaude et bien trempée. Il l'attira par le doigt à l'intérieur de son appartement. Il l'emmena à l'intérieur, ferma la porte et lui ordonna de se déshabiller complètement. Une fois qu'elle fut nue, il la positionna en levrette sur le parquet et la laissa ainsi. Il prit une cravache qu'il fit courir sur le corps tremblant de Stéphanie. Il s'attarda sur sa chatte humide et la trifouilla un peu lui arrachant au passage un petit miaulement. Il la cravacha sèchement.
"T'ai-je autorisé à gémir ou jouir ? Tu es à moi ce soir et je disposerai de ton corps comme bon m'en semble..."
Il la cravacha plusieurs fois lui arrachant des cris de douleur. Les marques rouges zébraient ses fesses. Il joua une nouvelle fois avec sa cravache dans la raie de Stéphanie, lui caressant le petit trou et s'enfonçant carrément dans son sexe complètement ouvert et offert. Stéphanie avait beau souffrir des coups de cravache et de la position inconfortable, au fond d'elle, elle appréciait la domination de son amant, elle s'en excitait et même en demandait plus.

Stéphanie se sentait humiliée par Loïc, et elle avait mal.
"Comment ose-t-il aller aussi  loin ? Je suis quand même sa supérieur !"
Les coups de cravache la faisaient souffrir, mais au moment où Loïc fit entrer le manche de la cravache dans son sexe elle ressentit du plaisir, au final elle s'aperçu que le domination de Loïc l'excitait. Stéphanie était partagée entre douleur et plaisir, et ce fut à cet instant qu'elle se souvenu qu'elle avait un bonbon blanc qu'elle avait oublié. Le premier gage avait été très dur, et celui-ci pas facile, mais elle avait tellement peur de la suite qu'elle laissa Loïc continuer son pouvoir de domination. Elle commença à pousser de petits gémissements, qu'elle ne put contrôler et se souvenu du premier coup de cravache, le plaisir se faisait de plus en plus ressentir, elle ne pouvait pas retenir les bruits qui sortait de ses lèvres tellement elle était excitée.

Loïc continuait de cravacher Stéphanie. Ses fesses étaient rouges voire, pour certaines zones, bleutées. Elle ne saignait pas mais il était déjà clair qu'elle aurait du mal à s'asseoir le lendemain. Loïc jouait de sa cravache. Il forçait l'entrée de son sexe et agitait le manche en elle, lui arrachant au passage des petits feulements. Dès qu'elle gémissait trop fort à son goût il retirait la cravache et la fessait plus ou moins violemment suivant l'intensité de son cri. Il pénétra même son anus sans préparation, Stéphanie se mordait les lèvres de douleur, mais cette domination réveillait en elle une puissante excitation.
Quand Loïc lui demanda :
"Tu en veux encore ?"
Elle répondit complètement soumise :
"Oui Maître s'il vous plaît, faites de mon corps ce que vous voudrez, il est à vous."
Loïc jubilait, il se masturbait tout en faisant le tour de sa chef toujours en levrette. Elle était tellement excitée que de la mouille s'étalait sur le parquet de l'appartement.

Stéphanie souffrait, mais l'excitation prenait toujours plus le dessus. Elle regardait Loïc lui tourner autour en se masturbant. Stéphanie n'avait qu'une envie : sentir la queue de Loïc dans sa bouche, dans sa chatte. Elle voulait le sucer et lui montrer de quoi elle était capable, le faire crier de plaisir à son tour. Stéphanie osait à peine lever les yeux, pour regarder celui qu'elle appeler maintenant "Maître". Elle voyait bien Loïc prendre du plaisir en se masturbant autour d'elle, mais elle savait bien que c'était cette domination et ce qu'il préparait qui l'excitait encore plus. Puis elle osa poser une question.
"Maitre que voulez vous de moi maintenant."

Loïc se répandit par gros jets sur Stéphanie qui croyait ainsi en avoir fini avec son humiliation, mais elle n'était qu'au début de la soirée que lui réservait son Maître. "Croque ton bonbon, mais pour le 4è bonbon, tu n'as fait que la moitié du chemin..." Il releva Stéphanie et lui tendit une liste de 10 numéros de téléphone portable. "Appelle-les chacun leur tour et donne leur rendez vous ici à 1/2 heure d'intervalle chacun. Dis leur que tu satisferas à chacune de leurs exigences sexuelles pendant 30 minutes."
Il tendit son téléphone à Stéphanie toute tremblante.

Stéphanie était très excitée et encore plus quand Loïc se rependait sur tout son corps, elle eu un gémissement qui mit Loïc très en colère.
Et là il lui dit, d'un ton très sec, que son humiliation n'était pas encore terminée. Lorsque Loïc lui expliqua ce qu'elle devait faire, elle baissa la tête puis la releva.
"Non je ne peux pas, cette fois s'en est trop, je prend mon bonbon blanc".
Elle savait que c'était un risque, qu'allait-il lui réserver pour la suite. Loïc avait lui même fixé les conditions donc il accepta.

Stéphanie croqua d'une manière très autoritaire son bonbon blanc comme pour marquer son désaccord. Loïc rangea son sexe dans son pantalon et laissa Stéphanie se relever. Il lui dit :"tu viens de croquer ton unique chance de me limiter dans mes demandes... très bien, je l'accepte, c'est le jeu..."
Loïc mis en jeu un nouveau bonbon blanc. Il ordonna à Stéphanie de rester nue mais d'aller s'allonger sur le lit, couchée sur le ventre. Stéphanie s'exécuta, elle n'avait plus le choix. Elle s'allongea apeurée par ce que pourrait lui faire Loïc.
Elle resta ainsi, calme, dans le silence pendant de nombreuses minutes avant que Loïc n'arrive. Il commença très doucement et très délicatement à appliquer une crème réparatrice sur les fesses meurtries de Stéphanie. Il était très doux et très attentionné, très rassurant pour Stéphanie. Ces caresses étaient très agréables et soulageaient le feu de la cravache. Stéphanie se détendit alors que Loïc, très protecteur continuait de la soigner. Une fois l'application terminée, Loïc remonta la couette sur Stéphanie pour la réchauffer. Il lui dit de croquer un bonbon bleu vu qu'elle avait obéi à son ordre de s'allonger nue dans son lit. Stéphanie était très étonnée de l'attention que lui portait son maître d'une soirée. Il la laissa ainsi bien au chaud s'assoupir, l'émotion était trop forte pour elle. Elle s'endormit quasiment immédiatement. Loïc la contempla un instant et se leva pour aller s'allonger sur le canapé. Demain ce serait le week-end, il se dit qu'il lui restait encore un bonbon...

Une fois que Stéphanie avait mangé son bonbon, elle alla s'allonger sur le lit de Loïc, loin d'être rassurée pour ce qui pouvait encore l'attendre.
Loïc prit soins d'elle ce qui la réconforta sur le moment, mais elle était bien consciente qu'il lui restait encore un bonbon.  
"Comment peut-il être si doux, alors qu'il y a un instant il était si autoritaire ?"
Au final, Stéphanie se dit qu'il n'avait pas un si mauvais fond, et du à l'épuisement de la soirée qui avait était très éprouvante, elle s'endormit dans le lit de Loïc. Le lendemain matin quand Stéphanie ouvrit les yeux, elle se réveilla dans le lit de Loïc, elle y avait passer la nuit, elle se sentit désemparée, il n'y avait aucun bruit.
"Que faire, il dort peut-être encore."
Stéphanie se sentait partagée entre l'envie de partir et la peur, elle attendit donc un signe de Loïc, qui ne tarda pas.

Loïc pénétra la pièce au petit matin. Il proposa à Stéphanie son dernier gage :
"Il est 9 heures, dans 3 heures tu pourras quitter cette chambre et cet appartement, le week-end sera à toi, je te laisserai toutes les photos que je t'ai promises mais en attendant, pendant 3 heures, j'attends de toi une sexualité complètement débridée."
Il se déshabilla et s'allongea à côté de Stéphanie.
"A toi de me montrer ce que tu sais faire !" Loïc bandait déjà, il avait vraisemblablement fantasmé sur cette matinée toute la nuit.

Stéphanie était soulagée, ce gage était bien mois difficile que les autres. Elle se mit à califourchon sur Loïc pour pouvoir l'embrasser, tout en frottant son sexe contre le sien pour qu'il ne perde rien de son érection. Elle l'embrassa dans le cou, lui mordillai l'oreille pour accentuer l'excitation. Elle l'embrassa ensuite le long du torse, pour arriver jusqu'à à son pénis, elle lécha d'abord le gland pour ensuite descendre le long de son pénis, remonter doucement pour brusquement tout prendre dans sa bouche. Stéphanie continuait sa fellation avec plus d'intensité en lui caressant et lui léchant les boules, elle pouvait entendre les gémissement de plaisir de Loïc. Elle laissait glisser un doigts au niveau de son anus, pour le caresser doucement et voir si ça lui plaisait, Loïc avait l'air enchanté. Stéphanie se mit ensuite en position d'andromaque pour s'empaler sur la queue bien dure de Loïc, les deux mains posées sur la poitrine de Loïc elle s'adonna à une chevauchée torride.


Loïc attendait patiemment au 18 avenue des lilas, un petit bar appelé le bar des lilas. Il était attablé dehors devant un verre de vin blanc. Il était 19h45. Il fumait tranquillement une cigarette en attendant Stéphanie. Il profitait de ce moment de répit et finissait de réfléchir à ce qu'il allait dire... Sur le fond s'était clair, il voulait profiter d'elle, l'humilier, la sauter aussi car elle lui plaisait et ses photos l'excitaient. Sur la forme, il hésitait encore.

Stéphanie quitta son bureau d'un pas déterminé, regardant autour d'elle si une personne était susceptible d'être l'auteur de ce courrier. Elle se dirigea vers le point de rendez-vous, la tête pleine de questions.
"Qui peut m'avoir envoyé ce courrier et pourquoi, qu'attend-il de moi ?"
Stéphanie arriva à l'adresse indiquée, mais ne voyait personne, l'angoisse commença à se voir sur son visage, elle regarda partout autour d'elle, lorsqu'elle vit s'approcher Loïc son assistant.
Surprise et choquée, elle resta sans voix.
"Comment ? Pas lui, il a été si gentil tout au long de cette journée."

Loïc fut rapidement très directif à l'encontre de sa chef.
"Assieds-toi ici !" fit-il en désignant une chaise à une table libre.
"Assieds-toi et tais-toi, laisse moi parler, je vais te proposer quelque chose que tu ne devrais pas refuser..."
Loïc commanda deux coupes de champagne et commença à expliquer le marché à Stéphanie. Il allait lui confier un collier en bonbons (comme ceux des enfants) avec 4 bonbons bleu et 1 bonbon blanc. Elle devrait lui obéir sans broncher et sans discuter sur chacune de ses demandes. Lorsque la demande aura été exécutée alors elle pourrait manger un bonbon bleu. Elle n'aura pas le droit de refuser ce qu'il demande sauf une fois, et là, elle devra croquer le bonbon blanc.
Stéphanie était interrogative...  
Loïc sourit : "J'ai vu sur certaines photos ce dont tu étais capable... J'ai du coup échangé avec l'auteur des photos qui m'a envoyé tout un dossier sur toi. J'en sais beaucoup sur toi, ta sexualité... tu sembles bien dévergondée soit dit en passant ! Je vais me faire un plaisir de profiter de toi !"

Stéphanie pris place sans poser de questions, elle écoutait parler Loïc, surprise et choquée en même temps. Elle ne comprenait pas ce qui était en train de se passer.
"Mon assistant, lui qui a été si gentil, tout au long de cette journée, comment peut-il me faire du chantage ?"
Stéphanie l'écoutait parler de ses photos, elle restait bouche bée, comment pouvaitelle se sortir d'une telle situation, à part obéir. Elle laissa Loïc lui mettre le collier autour du cou, avec un regard un peu paniqué, mais toujours froid pour ne pas trop laisser Loïc jouir de la situation.

Loïc se délectait de la situation en regardant Stéphanie se mordre les lèvres. Son regard désabusé en disait long sur ce qu'elle pensait de la situation.... mais Loïc savait que sous ses airs de sainte nitouche se cachait une redoutable salope. Qu'il suffise de regarder les quelques photos qu'on lui avaient transmises. Elle pouvait être complètement dévergondée et il comptait bien en profiter dès ce soir.
Il se tourna vers Stéphanie et lui dit tout simplement et sans se démonter : "Voici une boite de préservatifs, je compte sur toi pour revenir à mon appartement qui est juste en face avec ces deux capotes bien remplies dans 15 minutes."
Loïc déclencha son chronomètre et se leva en direction de son appartement... "ah oui j'oubliais, dit-il en se retournant, dépêches-toi le compteur tourne et tu n'as pas le droit de m'utiliser pour ce gage, il va falloir trouver d'autres personnes ! Bon courage"

Stéphanie était stupéfaite par ce qu'elle venait d'entendre. Elle savait qu'elle avait la possibilité de refuser une fois, mais elle était bien consciente que ce n'était qu'une seule fois. Si elle voulait garder son travail et le respect de ses collaborateurs, il fallait qu'elle fasse ce que lui demandait Loïc. Stéphanie regardait Loïc se déplacer à travers la pièce en lui répétant avec insistance.
"Attention, le chrono a commencé, tu n'as que 15 min".
Mais deux étaient déjà passées, elle se leva à son tour et se mit à regarder autour d'elle. Au fond du bar, elle aperçut deux copains en pleine discution, elle s'approcha et sans rien dire elle les pris par la main, puis les amena jusqu'aux toilettes. Les deux garçons la suivirent sans se poser de questions, elle baissa leurs braguettes et commença à les branler pour ensuite leur mettre les préservatifs.
Stéphanie se lança dans des fellation torrides pour les faire jouir au plus vite, elle savait que le temps lui était compté. Les deux garçons étaient tellement excités par la situation qu'il ne leur fallut pas longtemps pour jouir. Stéphanie se dépêcha de récupérer ses préservatifs qu'elle referma avec soin, sans donner d'explications aux deux jeunes hommes.
Elle frappa à la porte de chez Loïc, soulagée et angoissée.
"Ouf!!! Juste à temps, mais que me réserve-t-il maintenant ?"
Elle allait vite être fixée, Loïc ouvrait la porte au même moment.

"Bravo Stéphanie, s'exclama-t-il. Deux préservatifs bien remplis en moins de 13 minutes. On m'avait en effet parlé de tes performances, j'en doutais encore un peu, mais là tu dépasses certaines de mes attentes... Croque un bonbon cela te changera du goût de ces bites que tu viens de sucer à la va vite au fond des toilettes de ce bar !" Stéphanie s'exécuta sans broncher, elle suça avec ferveur ce petit bonbon au goût chimique tellement plus doux que la tige de ce grand boutonneux qu'elle avait fait juter quelques minutes auparavant.  
Loïc reprit la parole : "Tes petites prouesses m'ont un peu excitées, tu vas maintenant me sucer pendant 37 minutes et 30 secondes ; tu devras me faire jouir à plus ou moins cinq secondes par rapport à ce timing. Si tu gagnes tu croques un bonbon, sinon tu prends un autre gage de substitution." Stéphanie installa Loïc dans son fauteuil club et se pencha sur lui.

Stéphanie se rendait bien compte que le gage était infaisable.
"Comment faire, déjà trente sept minutes et trente secondes c'est long, puis ne pas le faire jouir avant me parait impossible." 
Elle réfléchit, elle savait qu'elle avait un joker, mais si elle l'utilisait maintenant elle n'en aurait plus. Stéphanie s'exécuta sans sourciller. Elle se mit à genoux entre les cuisse de Loïc et commença sa fellation.
Très vite Loïc commença à jouir, et appuya un peu brutalement sur la tête de Stéphanie pour se donner encore plus de plaisir, ce qu'elle ne voulait pas puisqu'elle savait qu'il devait tenir plus de trente minutes. Elle entendait Loïc gémir de plus en plus fort, il s'enfonçait au fond de la gorge, puis ce fut la catastrophe pour Stéphanie, Loïc avait joui dans les vingt premières minutes. Elle releva la tête le regard baissé.

"Tu as manqué ton gage ! Pas de bonbon... Il est relativement tôt. Je crois qu'il te sera profitable de méditer sur cet échec ce soir, je te renvoie chez toi... mais ton gage de demain t'attend sur la table." Loïc avait déposé sur la table un petit paquet que Stéphanie ouvrit, honteuse. A l'intérieur elle découvrit des boules vibrantes. Loïc sourit et lui glissa à l'oreille : "Elles sont vibrantes et c'est moi qui ai la télécommande, tu les mettras sous ta jupe et sans string demain au bureau, c'est ton deuxième gage !" Loïc s'essuya le bout de la queue d'un revers de l'index, récolta une goutte de sperme qu'il déposa sur les lèvres de Stéphanie. Il l'embrassa chastement sur les lèvres... "A demain chérie !"

Stéphanie partit honteuse et en colère.
"Combien de temps va durer ce cinéma ?" se demanda-t-elle. Elle savait qu'elle ne passerait pas une bonne nuit, la journée avait commencé par un nouveau boulot, mais ne c'était pas terminée comme elle le pensait. La nuit passa et la voici de retour au bureau, elle passa devant le bureau de Loïc qui la regarda avec un sourire en coin, lui faisant bien comprendre ce qu'il attendait d'elle. Stéphanie entra dans son bureau puis installa les boule de geisha. Elle s'installa pour travailler quand elle sentit les premières vibrations, ça l'excitait beaucoup, elle voyait Loïc qui l'observait derrière la vitre, assis à son bureau.

Loïc commença par se détendre en appuyant son dos contre son fauteuil, il prit une gorgée de café et joua avec l'intensité de la molette pour tester les réactions de Stéphanie. Celle-ci crispait la bouche pour mieux contrôler ses émotions. Elle changeait de position pour que personne ne remarque son petit manège. Elle jetait des regards méchants à Loïc. Elle lui en voulait de compromettre ainsi son emploi mais elle se soumettait complètement à ses exigences par peur qu'il ne dévoile ces photos.
Loïc convoqua au nom de Stéphanie toute l'équipe qu'elle dirigeait pour une réunion informelle d'une demi heure. Il expliqua dans un mail à tout le monde que "Stéphanie vibrait d'impatience à l'idée de les rencontrer pour leur expliquer ses objectifs".
Tout le monde s'assit dans la grande salle. Stéphanie prit la parole de manière assurée et ferme : "Bonjour à toutes et à tous. Merci d'être venus. Je vais vous expliquer maaaaaaaaaaa stratégie." Loïc venait de tourner d'un coup sec la molette et la vibration arracha un "aaaaaaaah" à Stéphanie. Tout le monde en rit sauf Loïc qui fixait narquoisement sa chef en lui faisant signe qu'elle n'était qu'au début de ses problèmes. Il tourna doucement la molette et arrêta, puis recommença....

Stéphanie continuait la réunion avec une honte intérieure qui la rongeait, mais elle savait qu'il ne fallait rien laisser transparaître. Elle jetait un petit coup d'oeil à Loïc qui lui fit bien comprendre, que ce n'était que le début de son calvaire. Stéphanie continuait la réunion en gardant le plus possible son sérieux, mais par moment de petits gémissements sortaient de ses lèvres pincées. Les vibrations des boules l'excitaient un peu et Loïc l'avait bien compris. Loïc faisait vibrer les boules doucement et plus vite, et parfois il donnait un petit coup au maximum, ce qui faisait sursauter Stéphanie. Elle ne se languissait que d'une chose, que la réunion s'arrête, les collaborateurs qui étaient tous là passaient du sérieux au petit sourire en coin. Sa seule angoisse: que quelqu'un découvre quelque chose.

Loïc continuait son petit jeu. Un moment, il fit lever Stéphanie en lui demandant de pointer sur la carte le lieu exact qu'elle était en train d'évoquer. Il était assis juste à côté d'elle et ne put s'empêcher de remarquer la trace de mouille qu'elle avait laissée sur la chaise. Elle avait bien respecté ses consignes... pas de string. Il la regada pointer du doigt la carte et se concentra sur sa robe que sa mouille avait également tachée. Il fut le seul à s'en apercevoir et il se pencha sur elle pour lui confier cela lorsqu'elle se rassit. Loïc continua à jouer ainsi de Stéphanie pendant toute la réunion. Lorsque tout le monde fut sorti, il enclencha la molette sur la vibration maximale et laissa Stéphanie seule en lui lançant : "ton orgasme devrait te calmer, tu penseras à forcer plus ton maquillage demain car tes joues sont rouges d'excitation, avec tes yeux brillants, n'importe qui devinerait sans souci que tu es en train de te masturber ou que tu viens de jouir. Alors profites bien de l'orgasme que je t'accorde et viens me rejoindre à mon bureau quand tu auras joui !" Il quitta la salle.

Stéphanie se sentait légèrement humiliée, mais l'excitation pris vite le dessus, elle était soulagée de se retrouver enfin seule. Elle s'était rassise sur la chaise alors que Loïc continuait, à s'amuser avec les boules. Stéphanie craquait, cela faisait plus de trente minutes qu'elle attendait ce moment. Elle glissa une main entre ses cuisse mouillées et commença à se caresser le clitoris, pour atteindre enfin l'orgasme tant attendu, avant de retourner vers le bureau de Loïc. Stéphanie se sentait soulagée, mais sentait bien que ses joues étaient rouge de chaleur et d'excitation. Elle sortit de la pièce, pour s'approcher doucement du bureau de Loïc, elle avait un regard inquiet.
"Que me réserve-t-il encore, ce gage est-il terminé ?"

Loïc la vit arriver plus détendue qu'avant, les cheveux un peu ébouriffés, le rictus de ses lèvres avait disparu, ses yeux pétillaient encore de son orgasme d'il y a quelques minutes. Loïc avait stoppé la vibration. Il la reprendrait plus tard.  
"Je t'accorderai ton gage à la fin de la journée... il n'est que 11h... les piles sont encore vaillantes, j'espère que tu tiendras le coup, coquine !" Loïc renvoya sa chef à son bureau, c'était le monde à l'envers. Il s'amusa avec elle une partie de la journée en déclenchant la molette de vibration quand elle recevait quelqu'un ou quand elle était au téléphone. A la fin de la journée, il envoya un e-mail à Stéphanie avec l'autorisation de croquer ou de sucer son deuxième bonbon et il l'invita à se joindre à lui pour 19h à son appartement. Elle devait être nue sous son manteau et "prête à l'emploi"...

Stéphanie n'en pouvait plus la journée avait été pleine d'émotions et de sensations fortes. Elle rentrait chez elle et en profita pour prendre un bon bain chaud.
"Enfin un vrai moment de détente, seule et tranquille, quel bonheur".
Quand soudain elle vit l'heure, 18h30, il lui restait une demie heure pour se sécher les cheveux et être à l'heure, ça allait bien que Loïc ne vivait qu'à quinze minutes de chez elle.
Une fois essuyée et les cheveux sec, elle enfila son manteau nue comme lui avait demandé Loïc. Stéphanie sortit de chez elle très mal à l'aise par la situation, elle était nue comme un ver et avait l'impression que tous les regards étaient posés sur elle. Elle arriva à l'appartement de Loïc et frappa a la porte.

Loïc ouvrit la porte et déboutonna le manteau de sa chef. Elle était nue et sentait bon comme il lui avait demandé. Il s'approcha d'elle et sans crier gare enfonça son doigt dans sa touffe. Il retira son doigt parfaitement sec.
"J'avais dit prête à l'emploi".
Il referma la porte et lui glissa à travers le mur d'un ton désespéré : "Sonne quand tu seras suffisamment humide pour être prise immédiatement". Loïc abandonna ainsi Stéphanie sur le palier froid de son immeuble et alla se vautrer dans le canapé. Il passa sa main sur son pantalon, la situation l'excitait déjà tellement...

Stéphanie se retrouvait sur le pallier, elle n'avait pas chaud.
"Quand même il abuse un peu j'ai fait tout ce qu'il me demandait".
Stéphanie commença à se caresser pour s'exciter toute seule, dans le froid, il lui fallut un petit moment pour y arriver. Elle était frustrée de l'attitude de Loïc.
"Ce n'est qu'un bougre ce Loïc".
Stéphanie arrivait enfin à s'exciter et à être suffisamment mouillée pour sonner à nouveau à la porte. Loïc ouvrit la porte, mais ne la laissa pas entrer, il prit d'abord la précaution de vérifier que Stéphanie soit bien mouillée.

Loïc enfonça son doigt dans la chatte brûlante de Stéphanie. Elle était toute chaude et bien trempée. Il l'attira par le doigt à l'intérieur de son appartement. Il l'emmena à l'intérieur, ferma la porte et lui ordonna de se déshabiller complètement. Une fois qu'elle fut nue, il la positionna en levrette sur le parquet et la laissa ainsi. Il prit une cravache qu'il fit courir sur le corps tremblant de Stéphanie. Il s'attarda sur sa chatte humide et la trifouilla un peu lui arrachant au passage un petit miaulement. Il la cravacha sèchement.
"T'ai-je autorisé à gémir ou jouir ? Tu es à moi ce soir et je disposerai de ton corps comme bon m'en semble..."
Il la cravacha plusieurs fois lui arrachant des cris de douleur. Les marques rouges zébraient ses fesses. Il joua une nouvelle fois avec sa cravache dans la raie de Stéphanie, lui caressant le petit trou et s'enfonçant carrément dans son sexe complètement ouvert et offert. Stéphanie avait beau souffrir des coups de cravache et de la position inconfortable, au fond d'elle, elle appréciait la domination de son amant, elle s'en excitait et même en demandait plus.

Stéphanie se sentait humiliée par Loïc, et elle avait mal.
"Comment ose-t-il aller aussi  loin ? Je suis quand même sa supérieur !"
Les coups de cravache la faisaient souffrir, mais au moment où Loïc fit entrer le manche de la cravache dans son sexe elle ressentit du plaisir, au final elle s'aperçu que le domination de Loïc l'excitait. Stéphanie était partagée entre douleur et plaisir, et ce fut à cet instant qu'elle se souvenu qu'elle avait un bonbon blanc qu'elle avait oublié. Le premier gage avait été très dur, et celui-ci pas facile, mais elle avait tellement peur de la suite qu'elle laissa Loïc continuer son pouvoir de domination. Elle commença à pousser de petits gémissements, qu'elle ne put contrôler et se souvenu du premier coup de cravache, le plaisir se faisait de plus en plus ressentir, elle ne pouvait pas retenir les bruits qui sortait de ses lèvres tellement elle était excitée.

Loïc continuait de cravacher Stéphanie. Ses fesses étaient rouges voire, pour certaines zones, bleutées. Elle ne saignait pas mais il était déjà clair qu'elle aurait du mal à s'asseoir le lendemain. Loïc jouait de sa cravache. Il forçait l'entrée de son sexe et agitait le manche en elle, lui arrachant au passage des petits feulements. Dès qu'elle gémissait trop fort à son goût il retirait la cravache et la fessait plus ou moins violemment suivant l'intensité de son cri. Il pénétra même son anus sans préparation, Stéphanie se mordait les lèvres de douleur, mais cette domination réveillait en elle une puissante excitation.
Quand Loïc lui demanda :
"Tu en veux encore ?"
Elle répondit complètement soumise :
"Oui Maître s'il vous plaît, faites de mon corps ce que vous voudrez, il est à vous."
Loïc jubilait, il se masturbait tout en faisant le tour de sa chef toujours en levrette. Elle était tellement excitée que de la mouille s'étalait sur le parquet de l'appartement.

Stéphanie souffrait, mais l'excitation prenait toujours plus le dessus. Elle regardait Loïc lui tourner autour en se masturbant. Stéphanie n'avait qu'une envie : sentir la queue de Loïc dans sa bouche, dans sa chatte. Elle voulait le sucer et lui montrer de quoi elle était capable, le faire crier de plaisir à son tour. Stéphanie osait à peine lever les yeux, pour regarder celui qu'elle appeler maintenant "Maître". Elle voyait bien Loïc prendre du plaisir en se masturbant autour d'elle, mais elle savait bien que c'était cette domination et ce qu'il préparait qui l'excitait encore plus. Puis elle osa poser une question.
"Maitre que voulez vous de moi maintenant."

Loïc se répandit par gros jets sur Stéphanie qui croyait ainsi en avoir fini avec son humiliation, mais elle n'était qu'au début de la soirée que lui réservait son Maître. "Croque ton bonbon, mais pour le quatrième bonbon, tu n'as fait que la moitié du chemin..." Il releva Stéphanie et lui tendit une liste de dix numéros de téléphone portable. "Appelle-les chacun leur tour et donne leur rendez vous ici à une demi heure d'intervalle chacun. Dis leur que tu satisferas à chacune de leurs exigences sexuelles pendant trente minutes."
Il tendit son téléphone à Stéphanie toute tremblante.

Stéphanie était très excitée et encore plus quand Loïc se rependait sur tout son corps, elle eu un gémissement qui mit Loïc très en colère.
Et là il lui dit, d'un ton très sec, que son humiliation n'était pas encore terminée. Lorsque Loïc lui expliqua ce qu'elle devait faire, elle baissa la tête puis la releva.
"Non je ne peux pas, cette fois s'en est trop, je prend mon bonbon blanc".
Elle savait que c'était un risque, qu'allait-il lui réserver pour la suite. Loïc avait lui même fixé les conditions donc il accepta.

Stéphanie croqua d'une manière très autoritaire son bonbon blanc comme pour marquer son désaccord. Loïc rangea son sexe dans son pantalon et laissa Stéphanie se relever. Il lui dit :"tu viens de croquer ton unique chance de me limiter dans mes demandes... très bien, je l'accepte, c'est le jeu..."
Loïc mis en jeu un nouveau bonbon blanc. Il ordonna à Stéphanie de rester nue mais d'aller s'allonger sur le lit, couchée sur le ventre. Stéphanie s'exécuta, elle n'avait plus le choix. Elle s'allongea apeurée par ce que pourrait lui faire Loïc.
Elle resta ainsi, calme, dans le silence pendant de nombreuses minutes avant que Loïc n'arrive. Il commença très doucement et très délicatement à appliquer une crème réparatrice sur les fesses meurtries de Stéphanie. Il était très doux et très attentionné, très rassurant pour Stéphanie. Ces caresses étaient très agréables et soulageaient le feu de la cravache. Stéphanie se détendit alors que Loïc, très protecteur continuait de la soigner. Une fois l'application terminée, Loïc remonta la couette sur Stéphanie pour la réchauffer. Il lui dit de croquer un bonbon bleu vu qu'elle avait obéi à son ordre de s'allonger nue dans son lit. Stéphanie était très étonnée de l'attention que lui portait son maître d'une soirée. Il la laissa ainsi bien au chaud s'assoupir, l'émotion était trop forte pour elle. Elle s'endormit quasiment immédiatement. Loïc la contempla un instant et se leva pour aller s'allonger sur le canapé. Demain ce serait le week-end, il se dit qu'il lui restait encore un bonbon...

Une fois que Stéphanie avait mangé son bonbon, elle alla s'allonger sur le lit de Loïc, loin d'être rassurée pour ce qui pouvait encore l'attendre.
Loïc prit soins d'elle ce qui la réconforta sur le moment, mais elle était bien consciente qu'il lui restait encore un bonbon.  
"Comment peut-il être si doux, alors qu'il y a un instant il était si autoritaire ?"
Au final, Stéphanie se dit qu'il n'avait pas un si mauvais fond, et du à l'épuisement de la soirée qui avait était très éprouvante, elle s'endormit dans le lit de Loïc. Le lendemain matin quand Stéphanie ouvrit les yeux, elle se réveilla dans le lit de Loïc, elle y avait passer la nuit, elle se sentit désemparée, il n'y avait aucun bruit.
"Que faire, il dort peut-être encore."
Stéphanie se sentait partagée entre l'envie de partir et la peur, elle attendit donc un signe de Loïc, qui ne tarda pas.

Loïc pénétra la pièce au petit matin. Il proposa à Stéphanie son dernier gage :
"Il est neuf heures, dans trois heures tu pourras quitter cette chambre et cet appartement, le week-end sera à toi, je te laisserai toutes les photos que je t'ai promises mais en attendant, pendant trois heures, j'attends de toi une sexualité complètement débridée."
Il se déshabilla et s'allongea à côté de Stéphanie.
"A toi de me montrer ce que tu sais faire !" Loïc bandait déjà, il avait vraisemblablement fantasmé sur cette matinée toute la nuit.

Stéphanie était soulagée, ce gage était bien mois difficile que les autres. Elle se mit à califourchon sur Loïc pour pouvoir l'embrasser, tout en frottant son sexe contre le sien pour qu'il ne perde rien de son érection. Elle l'embrassa dans le cou, lui mordillai l'oreille pour accentuer l'excitation. Elle l'embrassa ensuite le long du torse, pour arriver jusqu'à à son pénis, elle lécha d'abord le gland pour ensuite descendre le long de son pénis, remonter doucement pour brusquement tout prendre dans sa bouche. Stéphanie continuait sa fellation avec plus d'intensité en lui caressant et lui léchant les boules, elle pouvait entendre les gémissement de plaisir de Loïc. Elle laissait glisser un doigts au niveau de son anus, pour le caresser doucement et voir si ça lui plaisait, Loïc avait l'air enchanté. Stéphanie se mit ensuite en position d'andromaque pour s'empaler sur la queue bien dure de Loïc, les deux mains posées sur la poitrine de Loïc elle s'adonna à une chevauchée torride.

L'excitation de Loïc était telle qu'il gémit dès le premier attouchement de son sexe et il ne fallut pas très longtemps à Stéphanie pour le faire jouir. En effet, la position d'Andromaque et ses coups de rein puissant eurent raison de la queue de Loïc. Il se répandit en elle en de grands spasmes mais Stéphanie continua de le chevaucher sans faiblir. Elle s'empalait sur Loïc malgré son érection de moins en moins vaillante. Elle l'avait fait jouir mais elle voulait le suivre le plus rapidement possible. Même ramollie la bite de Loïc lui remplissait bien la chatte et Stéphanie se donna du plaisir. Elle ne put jouir tout de suite et dût se mettre en soixante-neuf pour que Loïc finisse de la faire jouir. Elle en profita pour nettoyer parfaitement le gland de son amant. Loïc lui nettoyait la chatte jusqu'au moment où Stéphanie se crispa sur le membre de Loïc. Elle jouissait en silence mais tout son corps frémissait.

Stéphanie avait pris un plaisir fou avec le soixante-neuf, Loïc faisait des cunnis comme un dieu, et il ne lui fallut pas longtemps pour jouir à son tour. Elle continua la fellation qu'elle avait commencée pour que Loïc bande suffisamment, et continuer les ébats qu'ils avaient commencer.
Stéphanie ne se sentait plus, à ce moment là, comme la personne soumise obliger d'obéir, mais plutôt comme une amante avec qui il avait envie de partager quelque chose. Elle se remit entre les cuisse de Loïc pour continuer à la sucer, une fois qu'il c'était remis à bander, elle lui demanda de la prendre par derrière, Loïc ne se fit pas prier pour prendre place. Il commença des va-et-vient qui les excitèrent tous les deux jusqu'à la jouissance de chacun.

Les deux amants continuèrent ainsi à se faire jouir à tour de rôle et ne se rendirent pas compte que le soir avait pointé son nez. Stéphanie et Loïc échangèrent longuement pendant ce week end, ils baisèrent beaucoup également... à tel point qu'ils devinrent sex-friends. Souvent ils se lançaient des défis, y compris au bureau. Parfois Stéphanie offrait pour quelques heures à Loïc une petite télécommande avec une molette... Elle se mordait les lèvres et lui glissait : "j'ai une réunion importante... n'hésite pas à me torturer, je te rendrais la pareille ce soir..."

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  • : Ce blog a pour but de faire partager des récits érotiques écrits par moi-même, en collaboration avec ma femme ou avec une autre main. J'espère que vous prendrez plaisir à les lire. Quelques images seront également présentes.
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